Qui peut me fournir la règle?

 

BOBINE  DE  FIL

On prenait une bobine de fil en bois vide (à cette époque c'était en bois seulement). D'un coté du trou on y mettait un bouton dans lequel on y passait un petit élastique tiré d'un vieil extenseur cassé que l'on faisait ressortir de l'autre coté de la bobine ou l'on adaptait une allumette ou un bout de bois un peu plus grand . Aprés avoir plus ou moins bien fixé le bouton on tournait l'allumette d'un certain nombre de tours et on posait l'ensemble par terre. La bobine se transformait alors (avec  notre  imagination)  en  voiture  et  nous  faisions  la  course  ou  alors  en bataille  les unes  contre  les  autres.
Quelqu'un  avait  trouvé  le  filon  en  vendant  les  élastiques,  tout  simplement  en décortiquant  un  vieux  tendeur  et  en  retirant  tous les petits élastiques qui d'y trouvaient.

Evidemment  le  jeu  par  excellence  quand  nous  étions  dans  un  coin  tranquille  et  qu'il y  avait  une  descente  (pas  trop  forte  quand  même). Nous  faisions  des  courses  et  la nous  voyons  toute  l'ingéniosité  de c hacun. Pour  moi  mon  grand  problème  était  d'avoir  des  roulements,  mais  j'avais  du  bois  et  de  l'outillage.
Aussi  je  fabriquais  une  carriole (sans les roulements évidemment) contre  des  roulements pour  la  mienne.
Quelquefois  les  carrioles  avaient  une  durée  de  vie  trés  courte  à  cause  du  garde champêtre. Il  faut  dire  qu'actuellement  avec la circulation , cela  ne  serait  plus  possible de  jouer  avec  ces  engins. Ce  serait  proprement  suicidaire.

Classique  comme jeu. Mais  nous  utilisions  parfois  une  vieille  jante  de  bicyclette  sans  rayons  et  un  fer coudé  pour  faire  avancer  le  cerceau. Comme  je  jouais  beaucoup  à  la campagne  lorsque  j'étais j eune,  il  y  avait  moult  petits  ravins  ou  quand  le  cerceau s'échappait  il  fallait  aller  le  chercher  et  remonter,  bien sûr.

Partie la moins marrante du jeu.
Aussi  j'avais  trouvé  la  parade  en  enfermant  le  cerceau  par  un  fil  de  fer  dans  le  fer coudé  ce  qui  faisait   que  le  cerceau  ne  pouvait  pas  s'échapper, mais je pouvais jouer tout aussi naturellement .

Règle?

J'ai  un  souvenir  que  nous  jouions  souvent  à  ce  jeu  en  récréation  au  lycée.
Rappeler les règles.

Ce  jeu  se  jouait  sur  la  plage  (ou il y a un bon sable, et cela ne manquait pas chez nous!)
Toute  une  bande  de  jeunes  se  mettait  en  rond  et  un  joueur  avait  un  mouchoir  (ou autre chose)  caché  dans  sa  main,  il  tournait  autour  des  copains  ou copines  et  à  un moment ,  discrètement  il  plaçait  son  mouchoir  derrière  quelqu'un. Si  le  coureur  arrivait  à  faire  un  tour  et  arrivait   au   joueur  qui  a  eu  le  mouchoir,  le  joueur  allait au milieu  faire  la  chandelle.S'il s'apercevait qu'il avait le mouchoir il essayait d'attraper le coureur  pour  lui  faire  faire  chandelle. Evidemment  beaucoup  de  ces  jeux  se  jouaient avant  l'âge  de  14-15 ans  car  après  d'autres  jeux  nous attendaient! !  J'emporte  j'emporte  la  galette  au  four,  J'en  mange  j'en mange  la  moitié  en route....etc..etc... C'était  la chanson  que  chantait  celui  qui  tournait  autour  du  cercle.
Nous  chantions  cela  quand  celui  ou  celle  qui  tournait  autour  du  cercle  oeuvrait  pour que  quelqu'un  fasse  chandelle.

Ceci n'est pas à proprement parlé un jeu mais plutôt une histoire que l'on raconte aux petits enfants à l'aide de cartes.Le déroulement de l'histoire leur paraitra un peu magique grâce aux cartes naturellemnt.C'est une histoire qui se passe dans le passé. Le R pq et le V pq (Roi de Pique et Valet de Pique) sont à part et placés figures vers le haut sur le tapis.Le R Pq est le patron et le V Pq est le garçon.
Placer les cartes dans l'ordre suivant figures visibles et en tas (jeu de 32). A, A, A, A, 7, R, R, R, D, D, D, 7, 9, 9, 9, 9, V, V, V, 7, D, 7, 8, 8, 8, 8, 10, 10, 10, 10. Un fois le tas fait on met le paquet figures vers le bas.
Mettre toujours les cartes dans l'ordre des couleurs: Pq, Co, Cr, Tf. Cela facilitera le jeu.Et on raconte l'histoire:
-Un restaurateur embauche un serveur . Il lui dit : tu gagneras 40 Ecus par mois et chaque fois que tu feras une commission tu recevras 7 sols.Donc on a placé les cartes suivant l'ordre désigné en un tas Les As étant en haut du paquet.
Le Rp demande au Vp d'aller lui chercher 4 cochons de lait. On place le Vp sur le paquet (fig.ret). On fait couper le jeu (coupure). On sort les cartes une par une en les mettant figures en l'air et en les mettant les unes sur les autres (attention de ne pas faire de mélange) et quand arrive les 10 et plus particulierement celui de Tf on s'arrete (suspens!) .

Question : que doit rapporter le valet? Les enfants:"les petits cochons", on sort les 4 as qui suivent et la autre question :"Que doit on au garçon? Reponse : "7 sols". On refait le paquet (fig. vers le bas) sans mélanger les cartes et on continue l'histoire.
Le (restaurateur à son garçon) R => V : "connais tu du monde pour venir dejeuner ce midi? " Reponse : "Oui". On pose le V Pq sur le tas, coupure , sortie des cartes une par une (jusqu'au) => 10 de T f.
Arrêt et suspens. Q: "que ramene le garçon?". La un grand silence car les enfants ne savent pas. Eh bien il ramène 3 messieurs et 3 dames.Commission? 7 sols.
Paquet. Le V Pq encaisse le prix des 6 repas : "36 Francs dit il", et la on abat les quatres 9 suivants.
Comme il reste un peu de nourriture le R Pq => V Pq demande de lui trouver du monde pour finir ses petits cochons.
Le V Pq part en chasse (on le met sur le paquet) , coupure, => 10 de TF, Suspense. Qui amène t il? Pas de reponse des enfants.
Et la on sort les 3 valets suivants V Co, V Cr, V Tf. Commission : "7 sols". La fin du repas arrive et le garçon présente l'addition et retourne au bar.
Le V Co va voir le jardin et s'esquive, le V Cr va faire pipi et sort par la fenêtre et s'esquive, mais tout à coup le garçon qui a vu le manège tient le V Tf et lui dit: ou tu paies l'addition totale ou je vais chercher ta femme. Je n'ai pas d'argent dit-il! Le R Pq tient le V Tf pendant que le V Pq va chercher l'épouse du V Tf.
On pose le V Pq sur le tas etc etc => 10 T f. Suspens! Qui arrive? Les enfants : "la D de T f". Commission: "7 sols"..
Elle engueule son mari et paie l'addition : "32 francs". Et la dame paie et on sort les quatre "8".
Le R Pq dit alors à son valet: "comme tu as tres bien travaillé je vais te donner ton salaire du mois d'avance, voila tes 40 francs et on retourne les quatres dernières cartes qui sont les quatres "10". Fin de l'histoire.
NB: quelquefois les enfants (ou adultes) coupent vers les dernières cartes et c'est la que le classement par couleur prend tout son sens , car supposons qu'il reste que 3 cartes, mais on ne sait pas exactement combien.En sortant le 10 de Co on sait qu'il reste encore 2 cartes et l'on s'arrète à la grande surprise des enfants au bon endroit.

Pour les plus petits: le jeu des 7 familles, puis la bataille. Il y a eu le Lexicon (jeu de cartes avec des lettres).Me rappeler les règles s.v.p. Avec les cartes françaises nous jouions à la belotte, la manille (me rappeler les règles), et toutes sortes de reussites.Et pour les plus forts qui voulait gagner un peu de sous : le poker. Avec les cartes espagnoles nous avions la Ronda.Il y avait la Brisque (l'orthographe étant approximative. J'en ai entendu parlé par mon père mais je ne sais ni avec quelles cartes on jouait ni les règles).

Aux réveillons nous jouions au 31.Chacun recevait 2 cartes, les cartes à figures comptait pour 10, l'as pour 11 et les cartes nombres valaient leur valeur.

Le donneur demandait au 1er joueur s'il jouait, en cas de réponse positive il lui donnait une carte et ainsi de suite jusqu'à ce que le joueur atteigne 31 auquel cas il gagnait, s'il dépassait c'était  perdu, il  pouvait  s'arréter avant  suivant son nombre de points.

S'il n'y avait pas de gagnant, celui qui se rapprochait le plus de 31 était le gagnant.

Et on recommençait une nouvelle partie avec un autre donneur.

Nous jouions beaucoup à ce jeu en famille, enfants y compris pendant les réunions familiales ou pour Noël et Jour de l'An.

Le jeu du couteau se pratiquait sur un endroit terreux plat assez dur mais pas trop ni caillouteux, on y jouait beaucoup à la récréation au lycée. Il consistait à jouer en 2 équipes (mono ou multijoueurs). On traçait un grand rectangle que nous partagions en 2.

Le jeu consistait à lancer le couteau en étant debout et faire en sorte qu'il se plante dans le terrain adverse. On tirait un trait jusqu'au bord du terrain délimité suivant le sens de la lame  qui coupait celui ci en 2 parties(sans toucher la zone adverse avec les doigts ou les pieds, uniquement avec la lame du couteau) . L'adversaire gardait l'un des 2 morceaux et l'autre devenait propriété du joueur ou de l'équipe qui avait planté le couteau. L'adversaire jouait quand le joueur avait raté son coup. La tactique consistait à faire en sorte que l'adversaire soit sur une ile et ainsi il devait jouer parfois 2 fois de suite sans  louper  ses  2  coups   afin de recupérer du territoire. Le gagnant était le joueur (ou l'équipe) qui avait reussi à ce que l'adversaire n'ait plus suffisament de place pour poser le pied sur son terrain afin de jouer..

J'ai beaucoup joué à  ce jeu lorsque j'étais demi-pensionnaire au lycée Luciani à Philippeville.

Evidemment tous les jeux possibles joués sur le sable et dans l'eau: ballon, volant avec raquettes, bateau, périssoire, canoë, matelas pneumatiques, chambres à air de camion (avec celle la on rigolait beaucoup!!) ou de voiture. Etc...etc.
Nous jouions aussi à un jeu sur le sable ou nous mettions des traits qui remplaçaient des lettres, l'adversaire disait une lettre , si elle existait dans le mot nous la mettions à sa place et tant que le joueur trouvait une lettre juste il continuait de jouer sinon cela passait au suivant.
Le gagnant etait celui qui terminait le mot et prenait la place du meneur.

Me rappeler d'autres jeux S.V.P.

Le jeu du Sou: nous utilisions une piece trouée datant d'avant guerre qui était de 25 ou 50 centimes je crois. Avec un morceau de papier plie en 2 ou 4 ou plus, nous faisions des franges, une fois ces dernières finies on enroulait le papier plié afin de le faire pénétrer dans le trou, nous écrasions le tortillon de papier qui ressortait et nous ébouriffions les franges.

Le jeu se pratiquait avec le pied et/ou la jambe, un peu avec les même règles que le foot. Il y avait des joueurs trés habiles qui faisaient pratiquement tout ce qu'ils voulaient avec le sou. J'en ferai un avec une rondelle équivalente au sou pour en faire une photo et montrer ce que c'était.Dans l'Algérois ils prenaient une vieille chambre à air de vélo, coupaient beaucoup d'anneaux, ils passaient une ficelle dans tous les anneaux et fermaient par un nœud.

Le pitchac   était  fait  avec  de  l'élastique (rondelles  de  pneus  de  vélo) avait  plus  de répondant  que  le   sou.

C'était un jeu de balle qui était prisonnière d'un élastique de quelques mètres attaché à une base en bois assez lourde.
Il y avait 2 joueurs avec une raquette (chacun évidemment).
Le jeu consistait à frapper la balle de telle manière que l'autre joueur ne puisse la rattrapper lors de son retour.

Jeu pour enfants ou ado (c'est alors plus compliqué). Un meneur de jeu  donnait les première et dernière lettres du nom d'un métier, puis il mimait les gestes de ce métier.

Souvent une franche rigolade. A l'époque le métier qui était en vogue pour ce jeu était "oto-rhino-laryngologiste", mais à force on ne le posait plus car trop connu.

Ce jeu se jouait evidemment au moment ou nous mangions les abricots. Plusieurs jeux en effet: "Bon ou Mauvais" ===> (pair ou impair), un joueur mettait des noyaux dans sa main fermée et l'adversaire disait "Bon" ou "Mauvais". Le joueur ouvrait la main et si l'autre joueur avait donné la bonne réponse il récupérait tous les noyaux de la main sinon il "remboursait" le même nombre de noyaux.

Le petit tas (ou le gros) suivant la distance d'ou l'on tire.

Le carton : un carton avec des trous de diverses dimensions, le plus gros avait un petit nombre écrit dessus, le plus petit un grand nombre. Un joueur lancait un noyau et s'il passait dans un trou ses adversaires lui donnait chacun le nombre de noyaux inscrit aux abords du trou. Si personne ne réussissait à passer dans un trou, tout le monde récupérait son noyau. Avec les noyaux nous faisions aussi des sifflets. Pour cela il fallait frotter le noyaux sur une toile emeri ou papier de verre ou tout autre matière rapeuse afin de faire un trou de chaque coté. En soufflant cela sifflait.

Avec l'amande de l'abricot on faisait de "l'orgeat" qui est parait il toxique.

Je ne me rappelle plus du nom donné à ce jeu chez nous.
Jeu qui faisait fureur dans notre jeunesse.On y jouait surtout à la récréation ou sur les trottoirs ou à  un endroit terreux plat.
Il s'agissait d'avoir 5 petits cailloux bien formés pour ce jeu, à la limite on les travaillait afin qu'ils soient "bons pour le service".
A  Philippeville  je  n'ai  jamais  vu  utiliser  de  vrais  osselets  pour  ce  jeu.

La  partie  se  passait  en plusieurs  "sets"  à  savoir  qu'elle  était  continue

tant  que   le  joueur  ne  fautait  pas.
Elle  se  déroulait  de  la  manière  suivante:
-on lançait un caillou en l'air et pendant ce temps on en prenait un par terre sans toucher les autres et on rattrapait celui qui retombait.
-on faisait la même chose en prenant les cailloux par terre par 2, puis par 3 puis par 4 toujours sans toucher les autres.
Dans toutes ces phases, tout caillou à terre touché (en dehors de celui qu'il faut) ou le caillou  lancé raté , on passe son tour.
Le  pont  terminait  la  partie:  avec  la  main  gauche  on  faisait  un  pont (appelé EMPAN je crois de ce côté ci de la Méditerranée) (qui  ne  devait  pas  riper  sur  le  sol) en  posant  le  pouce  et  l'index  au  sol  et  on  jetait  les   4  cailloux derrière  le  pont  puis  on  lançait  le  5eme  pendant   ce  temps  on  faisait   passer  par  le pont les cailloux par un , par 2 ...etc jusqu'à 4.
Il ne fallait pas que les cailloux passent en dehors du pont sinon on passait son tour.
Une  fois  le  jeu  du  pont  fini  le  gagnant  était  celui  qui  finissait  entièrement  toutes  les phases  du  jeu  et  on  recommençait  une  autre  partie.
N.B: avec l'habilté acquise à ce jeu, nous arrivions à poser séparément les cailloux, par 1, 2, 3, 4  afin  que  la  prise  de  ceux  ci  sans  toucher  les  autres  se  fasse  plus  facilement.

Le "PALET" ou jeu de la marelle en Métropole. Les palets classiques avaient en général 6 cases mais on en faisait parfois à 8 ou 10 cases , et 2 autres marelles qui étaient particulieres avec "le ciel" pour la 1ere et en forme d'escargot pour la 2eme.
Cette dernière était assez rare. Les cases étaient numérotées dans l'ordre.

On posait le palet sur la case 1 et on le poussait en sautillant sur un pied pour le faire avancer sur la case suivante sans toucher ni avec le palet ni avec le pied un trait quelconque.

Aprés on sautait une case, ensuite 2 puis 3 jusqu'à la derniere case, puis il y avait des combinaisons différentes à faire (croisement direct, inverse ...etc!)

Le jeu consistait à ce que le palet ne s'arrête jamais sur un trait sinon le joueur passait son tour.
Le gagnant était celle qui avait terminé la premiere toutes les combinaisons.

Jeu pour enfants qui se jouait à plusieurs. On l'appelait Peau Rouge ou Soleil. Se pratiquait beaucoup à la plage. Quelques enfants se mettaient sur une ligne à 10-15m environ de celui ou celle qui "payait". Ce dernier tournait le dos et tapait contre le mur en disant "1-2-3 peaurouge ou 1-2-3- soleil et se retournait brusquement. Ceux qui étaient vues en train de bouger retournaient à la ligne de départ. Le jeu consistait à arriver au but pour prendre la place de celui qui "payait" sans se faire voir en train de bouger.

Ce jeu se jouait entre enfants ou ado. On se mettait en rond et un joueur disait une phrase dans l'oreille de son voisin qui la transmettait à son voisin et ainsi de suite jusqu'au dernier qui révélait ce qu'il avait compris et on comparait avec la phrase du départ.

Rires assurés surtout si en cours de route quelques uns trichaient ce qui était souvent le cas et mettait du piment au jeu.

Jeu classique des enfants,mais ce qui l'était moins était de faire une toupie. Pour cela un gland tombé d'un chêne que l'on partageait en deux parties, on gardait celle qui avait une petite pointe car cela tournait beaucoup mieux, une allumette que l'on enfonçait dans le milieu de la partie que l'on gardait et tournez toupie!! Trés simple, vite fait, et de l'amusement! Pour la faire tourner on prenait l'allumette entre le majeur et le pouce et l'on faisait un geste brusque comme si l'on voulait claquer des doigts. Quand ce sera la saison des glands j'en ferai une et je la photographierai afin de la mette en photo sur ce site.

Jeu pour les petites filles. Je ne me rappelle plus quel était son utilité finale chez nous.
On prend un bobine en bois vide, autour d'un trou on plantait 4 petits clous genre tete  haume et voila un tricotin qui ne coutait pas cher. Avec de la laine les filles faisaient des longueurs de tube de laine. Ce qu'elles en faisaient je ne l'ai jamais su. A vous mesdames de me le dire.

Cliquer sur l'adresse ci dessous et vous verrez que votre ordinateur peut lire dans votre pensée.
Epoustouflant, incroyable mais vrai.
Mais il faut bien suivre le mode d'emploi sans tricher, vous serez surpris(e).
J'ai triché et bien sur cela se plante mais si on joue le jeu on reste coi! BABA quoi !
Juste un peu de rhum pour se remonter le moral!
Merci à Evelyne pour cet envoi.

http://www.k-netweb.net/projects/mindreader/